Quand les cousins s’en vont, ceux et celles qui restent prennent conscience de la brièveté de la vie qui leur a été donnée. Serge était des nôtres. Ce départ, libérateur peut-être sous certains aspects, fait en sorte qu’une nouvelle âme s’est ajoutée à la flottille de celles qui naviguent en l’Âme Universelle du Dieu des Chrétiens, le Père comme on nous l’enseigna. J’aurais aimé être des vôtres en ce mi-automne. La distance de notre matérialité pourrait physiquement m’en empêcher mais certainement pas en pensée spirituelle. Que la paix soit avec Serge que mon oncle Georges et ma tante Jeannine ont amené en cette expérience sur Terre. Il aura eu des parents de foi, un frère et une sœur de bonté. Vieillissant en âge aussi, je me recueillerai avec vous en me disant que de Distance il n’y en a guère. Sympathie à ses proches, frère et sœur dans le sang, neveux, nièces et respect face à la mort qui fait partie de la vie.

Que mon soutien
réchauffe votre coeur
