Louise Beaudoin
À l'hiver de sa vie, j'ai eu quelques rencontres avec madame Françoise, en compagnie de sa sœur Louise. La nouvelle du départ de madame Françoise me cause un choc, une grande peine. Ici l'hiver prend fin subitement. Un vent fort de tristesse souffle sur nous. Me secoue. M'oblige à envisager l'absence, que seul le souvenir de sa présence lumineuse pourra combler, chez ses proches. Car transparaissaient toujours, chez madame Françoise (pour peu que je sache), l'accueil dans la joie, le souci de l'autre, de le mieux connaître, l'humour, la curiosité de tout, l'appétit de vivre. Avec à l'esprit la bonne humeur naturelle, communicative de madame Françoise pour nous inspirer, j'offre mes vives condoléances à madame Louise, ainsi qu'à la famille.