Colette et Frédéric
Chère amie Colette, cher Frédéric, j'ai appris par Claude le décès de Marielle. Et la mort d'un être cher est toujours une dure épreuve à traverser. Les émotions sont vives, la peine est grande. Un deuil, au fond, n’est jamais simple. C'est pourquoi les sages nous invitent à construire par l’action, à croire donc. Et croire, c’est vouloir vivre malgré le chagrin, c’est se tourner vers les autres : ceux que l’on aime et qui nous aiment. Du fond du coeur, je tiens à vous offrir l'expression de mes plus sincères condoléances. Des obligations hors de mon contrôle m'empêchent d'être près de vous, mais ma pensée vous accompagne.
Je vous embrasse.
Affectueusement,
Suzie xx